Les meilleurs articles parus dans la presse ces derniers jours…

PARU dans : LA NOUVELLE REPUBLIQUE.fr

Vente à domicile : avenir des marques ?

 

La vente à domicile recrute.Ne dites pas à Jacques Cosnefroy que la vente directe est has been. Sans surprise, le délégué général de la Fédération de vente à domicile lui prédit un avenir radieux. A l’appui de cette foi, des exemples discrets pour l’instant mais symboliques.
« Certaines marques comme Yves Rocher ont commencé par acheter des réseaux pour vendre à domicile en parallèle du réseau traditionnel et investissent désormais la vente directe sous leur propre marque. D’autres, comme Phildar, voient leurs ventes chuter et trouvent dans la vente à domicile un moyen de sauver leur outil de production. »
Et si la vente directe augmente aussi les marges (moins de charges de structures et d’intermédiaires), elle serait aussi l’arme ultime contre certains comportements. « Le consommateur choisit son produit en rayon, relève les références et va l’acheter sur internet à moindre prix, quand il ne choisit pas un produit moins coûteux. Il va chercher le prix. »
Cette concurrence a un effet pervers à long terme.

 

Lire la suite sur LA NOUVELLE REPUBLIQUE.fr

 

PARU dans : Le Figaro.fr Economie

Cosmétiques: la descente aux enfers d’Avon

avon À la peine depuis plusieurs années, l’ex-champion des cosmétiques, spécialisé dans la vente directe, songe à se mettre en vente.

Acculé, Avon pourrait se mettre en vente. L’ex-champion des cosmétiques, spécialisé dans la vente à domicile, étudierait tous les scénarios, y compris une cession en bloc ou uniquement de sa filiale américaine, selon le Wall Street Journal. Le groupe, qui pèse 8,9 milliards de dollars de chiffre d’affaires, ne parvient pas à enrayer ses difficultés financières et le départ de ses vendeuses.

Son PDG, Sherilyn McCoy, aux commandes depuis trois ans, devait présenter son plan de bataille pour Avon à une réunion d’investisseurs le mois prochain. Avant d’annoncer en début de semaine le report de cet événement à l’automne prochain. Ce qui a immédiatement provoqué un bond du titre (+14%) ainsi que des spéculations sur l’avenir d’Avon. Le groupe américain étudierait désormais des options plus radicales pour se sortir de l’ornière.

Avon connaît depuis plusieurs années une lente descente aux enfers. Malgré une identité très forte aux États-Unis comme dans les pays émergents. Le groupe américain a vu le jour en 1886 en recrutant des femmes pour vendre du parfum en faisant du porte-à-porte. Il a connu une expansion rapide, et se trouve présent aujourd’hui dans 60 pays avec ses six millions de vendeurs, en majorité des femmes.

Lire la suite sur le site du Figaro economie