Emilie Cocco a 33 ans et est maman d’une petite fille de 3 ans. Il y a 2 ans, elle décide de se lancer comme conseillère de vente à domicile mais n’aurait jamais imaginé participer à l’émission de Téléréalité « Une boutique dans mon salon »!
Comment s’est passée la Sélection ? A votre avis pourquoi avez-vous été choisie ?
Le casting se passait sur Lyon, nous étions 4 sélectionnées pour Tupperware et c’est moi qui ai été choisie ! Je pense qu’ils ont aimé mon côté spontané et naturel…
Qu’est ce qui vous a décidé à participer à l’Emission « Une Boutique dans mon salon » d’M6 ?
Le tournage avait lieu à Lyon donc c’était assez pratique. Je ne regarde jamais la télévision d’habitude, mais là, je me suis dit que c’était une expérience assez unique à vivre. Cela ne se renouvellera sûrement pas donc autant y aller et jouer le jeu jusqu’au bout.
Comment s’est passé le tournage ?
Tout a été tourné au domicile de chacune des participantes. Il a fallu s’organiser un peu au niveau de mon activité car nous avons tourné sur une semaine.
La première réunion s’est passée chez moi, j’ai découvert les clientes le jour du tournage. Nous n’avions jamais le droit d’être en contact avec elles seule en tête à tête. Les autres participantes étaient dans une autre pièce, afin de visualiser la vente sur un écran.
Pensez-vous que cette émission reflète bien la réalité de la vente à domicile ?
Oui dans le sens où je ne connaissais pas les personnes qui venaient en tant que clientes. Par contre, il n’y avait pas d’hôtesse. En temps normal, lorsque je fais une réunion, je vais chez une personne que l’on appelle hôtesse, car elle invite toutes ses amies à participer à la vente. L’hôtesse est là également pour mettre une bonne ambiance et me soutenir pendant la réunion de vente. Et pour la remercier, je lui offre des cadeaux.
Sans l’hôtesse, on est un peu en situation de débutante ! On doit vraiment compter sur toute son expérience et sa formation commerciale pour réussir. C’était le challenge de cette émission…
Vous exercez une activité professionnelle dont on parle de plus en plus, pouvez-vous nous expliquer ce qui fait la réussite d’une vendeuse à domicile (VDI) ?
J’ai toujours été dans le commerce. J’ai choisi cette activité car quand j’ai eu ma fille, j’ai eu envie de vivre une vie professionnelle adaptée à la vie avec les enfants.
C’est un job de commerciale pur ! Si on ne met pas un cadre, c’est très difficile ! Car quand on est à la maison, on a toujours quelquechose à faire… Donc ma règle est de me fixer un agenda bien précis de phoning, rendez-vous et prospection.
Ensuite, je me fixe un seul objectif : je ne repars jamais d’une réunion sans redater une autre réunion ! Si on écoute et que l’on applique bien les méthodes de formation, ça marche. Ensuite, il faut donner envie et le reste c’est du fun. Je m’amuse beaucoup dans mon job !
Emilie sera-t-elle la gagnante du jeu? Vous le saurez en regardant l’Émission Une Boutique dans mon salon à partir du lundi 25 Juillet 17h30 sur M6!
4 comments
Evrard Emilie says:
Juil 25, 2016
Moi je trouve que tu t’es très bien débrouillée bravo ét mèrde aux critiques
marie marie says:
Juil 27, 2016
La vente directe ne sortira pas grandie de cette émission et les 4 conseillères non plus …Quand on les voit devant l’écran ce ne sont que critiques envers leurs collègues et au moment de noter « je lui mets 4 parce que je veux gagner « même si c’est de l’humour c’est mal venu.Quand Chantal dit vous ne mangerez pas de silicone la formule était peut être mal choisie elle aurait du dire qu’étant garantie jusqu’à 270 degrés une température que l’on emploie jamais le silicone ne risquait pas de migrer vers les aliments …Il s’est trouvé une autre des conseillères pour la railler là dessus rira bien qui rira le dernier mais personnellement je ne prendrai jamais le risque de participer à de telles mascarade on sait tous que vendredi chacune va en prendre plein la figure ça va pleurer sur le plateau une des conseillères est ma marraine je lui pose la question « qu’allais tu faire dans cette galère ? »
Françoise PICOLET says:
Juil 27, 2016
Bonjour,
Je regrette de ne pas avoir regardé la première émission, avec Emilie. Mais des amies l’ont vue et m’ont rapporté qu’Emilie avait été très bien, mais que les autres concurrentes avaient été très sévères et peu objectives envers elle, l’une d’entre elles particulièrement (celle qui n’éprouve aucun scrupule à déclarer qu’elle est là pour gagner et que de ce fait, même si elle trouve les autres pro., elle leur donnera une mauvaise note : jolie mentalité ! Digne de M6, certes, mais sûrement pas de l’esprit de la Vente à domicile !…).
En revanche j’ai vu la seconde émission, avec la Conseillère Demarle (dont j’ai oublié le prénom ; Jeanine ?), que j’ai trouvée très professionnelle, même si elle a quelque peu perdu ses moyens à un moment donné (mais on les perdrait à moins, dans un tel contexte…), ce qui lui a fait perdre un temps précieux.
Je suis d’accord avec Emilie : j’ai moi aussi observé que la situation qui veut que la Conseillère soit aussi l’hôtesse du jour est peu réaliste et, qui plus est, anxiogène pour la Conseillère : à cause de ce double rôle, elle perd beaucoup trop de temps en allées et venues à la cuisine. Dans la réalité, c’est généralement l’hôtesse qui joue ce rôle, permettant ainsi à la Conseillère de rester en permanence avec les invitées, ce qui d’un point de vue commercial, est bien préférable, sinon il est souvent difficile pour elle de reprendre le contrôle de la réunion à son retour dans la pièce où se déroule la réunion ; difficulté qu’on a d’ailleurs pu constater, hier, avec la Conseillère Demarle.
Par ailleurs les critiques des autres concurrentes concernant le fait que cette dernière utilise l’i-Cook’in pour faire ses recettes, alors qu’elle ne peut le vendre (vu le prix dudit robot par apport à la somme allouée aux pseudo-clientes pour faire leurs achats), ne sont nullement fondées et témoignent du fait qu’ainsi que le dit d’ailleurs expressément Emilie dans son commentaire (« C’est un job de commerciale pur »), les unes et les autres focalisent essentiellement sur les ventes, alors que la priorité des priorités pour une Conseillère de Vente à Domicile est le CONSEIL et LA PRISE DE RENDEZ-VOUS. Jeanine, quant à elle, l’a bien compris, qui en entretien individuel à la fin de la réunion, utilise la frustration d’une des invitées à propos de l’i-Cook’in, pour lui lancer un appel au rendez-vous (elle évoque la possibilité de la rencontrer une prochaine fois autour de ce produit). La seule chose qu’on peut effectivement reprocher à ladite Conseillère, c’est peut-être d’avoir passé effectivement un peu trop de temps à le démontrer. Ce qui était important dans son cas, c’était de juste faire du « teasing », pour donner envie à un maximum d’invitées d’en savoir plus au sujet de ce produit et ainsi inciter les invitées intéressées à programmer une nouvelle réunion autour dudit produit. De la même manière, les moules souples qui étaient exposés, mais qui n’ont pas été utilisés, étaient les bienvenus, à condition qu’ils servent à faire saliver autour de certaines recettes qui se font dedans et que la Conseillère annonce pouvoir faire dans de prochaines réunions (appel au rendez-vous, là encore).
Même si l’émission focalise, elle aussi, c’est évident, sur la vente et qu’en ce sens, elle ne reflète absolument pas ce qui fait la spécificité et la plus-value de la Vente à Domicile par rapport aux approches commerciales traditionnelles, pures et dures, les Conseillères qui ont été et seront sélectionnées dans cette émission, pourraient fort bien, malgré tout, comme l’a fait en partie Jeanine, hier, illustrer leur mission de conseil, et la technique des appels au rendez-vous, voire des appels au recrutement, au cours de leur prestation.
Pour conclure, je dirais que cette émission est fidèle à ce type de « télé réalité » et à la chaîne M6 et que la seule chose vraiment positive de l’histoire, c’est que cela fait parler de la 3ème voie de la distribution, au même titre que les autres branches d’activité qui se prêtent à ce petit jeu sur cette chaîne ou sur une autre : hôtellerie, restauration, immobilier etc. ; et que cela témoigne du fait que la Vente à Domicile est enfin considérée comme une activité professionnelle à part entière, chose qui n’était même pas imaginable il y a une vingtaine d’années…
Bravo et merci, donc, aux Conseillères qui ont l’audace de répondre « présentes » aux appels à candidatures de la chaîne et qui, en ce sens, contribuent à la diffusion de plus en plus large et à la promotion du métier de Conseillère de Vente à Domicile !
daniela w. says:
Août 10, 2016
Bon concept gâché par la mauvaise fois de certaines concurrentes…dommage