Le développement d’une activité de Vente Directe nécessite de l’enthousiasme et une certaine expertise.
On entend trop souvent dire « ça ne marche pas! ». Je n’arrive pas à développer ma clientèle. Objectivement, c’est très rarement lié au produit, par essence très bon en Vente à Domicile. C’est à 90% des cas lié au fait que la personne ne crée pas de contact, n’est pas dans l’action.
Trouver des contacts, les suivre, les fidéliser, voilà la clé de la réussite d’une entreprise de vente directe.
Pour vous aider dans cette démarche, nous accueillons aujourd’hui Carine Bonnisseau, VDI et experte développement de réseau/entrepreneur qui a développé une solution de suivi et de développement de réseau my-personal-business.com
UJUV : Bonjour Carine, merci d’intervenir sur notre BLOG. Dans la vente à domicile, on parle souvent de réseau, qu’est ce qu’on entend par là ?
Carine Bonnisseau : La Vente à Domicile ou le marketing de réseau parait spontanément très simple. On reçoit, on échange, on vend, on développe. Cette simplicité attire. Or, une fois dans le business, on découvre un univers à part entière : vocabulaire spécifique, méthode de travail, objectifs, formation etc. C’est de plus en plus professionnel, ce qui est d’ailleurs très positif.
La notion de réseau est très vaste. Ce sont comme des cercles autour de nous : le cercle familial, le cercle amical, le cercle professionnel, le cercle 2.0 (les réseaux sociaux) et un cercle relationnel externe très générique.
Segmenter ces cercles permet de bâtir ses listes de contacts, en sélectionnant soigneusement les profils. On entend souvent parler d’action massive mais cela ne veut pas dire qu’il faille « spammer » 100% de ses listes avec son projet.
UJUV : Carine, se lancer dans la vente à domicile donne parfois le vertige ! Les sociétés nous poussent à vendre, à recruter… Quel conseil donneriez-vous à une personne qui souhaite démarrer son réseau. Y-a-t-il une démarche particulière à avoir lorsqu’on recherche des prospects clients ?
CB : La clé de toute démarche de développement passe par deux actions : créer du contact et les suivre.
Les personnes qui font ce métier sont par nature sociables, elles aiment la rencontre, l’échange. C’est la base, apprendre à connaître nos interlocuteurs, leurs envies, projets, besoins, créer une relation de confiance. C’est à partir de là que tout se crée.
Cela demande du temps et du suivi. Chaque action avec un même contact amène une nouvelle étape, comme un script commercial, l’objectif étant la vente ou la signature d’un partenariat.
Il ne faut surtout pas se transformer en « chasseur de proies », ce serait très négatif et risquerait de détériorer la qualité de son tissu social, les personnes de votre entourage vous sentant intéressée et devenant spontanément méfiante, tout le contraire de l’objectif recherché. Il s’agit donc de sélectionner, plus que de recruter à tous prix, que ce soit un futur client ou un futur distributeur.
UJUV : Dès que l’on a ses premiers clients, on est assez satisfait, mais c’est bien connu, on en veut toujours plus… Quels conseils donneriez-vous à une personne qui souhaite développer son réseau?
CB : C’est tout à fait juste. On peut facilement se reposer sur le travail déjà réalisé.
Il n’y a qu’une seule réponse à cette question et elle tient en un mot : Le SUIVI. Nous avons tous tendance à remettre au lendemain ce que nous avions planifié le jour même, à procrastiner.
Un appel à passer qui ne l’est pas, un mail à envoyer qu’on ne prend pas le temps d’écrire et quelques jours plus tard, tout est aux oubliettes.
C’est comme cela que l’on perd des prospects sans s’en rendre compte, on oublie les gens. C’est très dommage, c’est une grande perte de temps et d’énergie car le plus dur est fait, le contact initial est créé.
Il faut professionnaliser sa démarche si l’on veut avancer.
On ne peut pas faire l’impasse d’un bon outil qui nous permette ce suivi, c’est précisément pour cela qu’on a créé my-personal-business.com.
Oublions l’image d’Epinal des copines qui se réunissent, il y a de ça au début mais ce n’est pas ce qui fait un vrai business. Ayez à l’esprit qu’il y a des dizaines de façon de relancer ses contacts autre qu’une proposition commerciale systématique qui lasse nos interlocuteurs. Il s’agit d’ajuster au mieux nos prochaines étapes pour rester présent dans l’esprit des gens. Les réseaux sociaux sont intéressants à ce sujet car ils permettent de publier du contenu de manière presque anodine.
UJUV : développer sa clientèle, c’est bien, mais on sait très bien que les revenus des VDI se font aussi par le biais du parrainage et du développement d’une équipe. Quels conseils pour développer son équipe?
CB : C’est effectivement stratégique pour générer un revenu conséquent. On en revient à la sélection : si vous voulez avancer, il faut travailler avec des personnes qui elles-mêmes ont envie d’avancer. Si vous vous focaliser à tirer vers vous des personnes peu motivées, ou peu autonomes, vous allez vous décourager.
IL faut donc suivre ses équipes, comme on suit une clientèle, être proche, disponible, savoir écouter et aider à lever les points de blocage. La vente directe ou le marketing de réseau sont extrêmement puissants en termes de développement personnel. Il est impressionnant de voir le nombre d’équipes qui se rendent collectivement, ou individuellement, à des séminaires de leader comme Anthony Robbins ou Frank Nicolas.
En tant que manager ou leader, il peut aussi être très utile de prendre le lead sur les contacts, faire les présentations ou signer de nouveaux partenaires à la place de son distributeur, au démarrage, tout au moins. Cela permet d’avancer plus vite et contribue en même temps à la formation du nouveau partenaire. N’oublions pas que c’est un métier basé sur la duplication.
UJUV : Carine, en tant que VDI, vous avez été confronté à ces problématiques de gestion de réseau et vous avez décidé de développer des outils pour aider les VDI à se développer à leur tour. Pourriez-vous nous expliquer le concept de « my-personal-business.com ? »
CB : Quand on démarre une activité de réseau, quel qu’en soit l’objectif, on établit des listes de contact, coordonnées, dates et compte rendu des rendez-vous etc.
On peut démarrer avec des outils gratuits comme un simple fichier Excel, ou une messagerie de type Outlook, pourquoi pas. Mais si l’on est actif et que l’on crée beaucoup de contacts, on se trouve vite débordé pour le suivi, ces outils ne sont pas conçus pour ça.
C’est la difficulté que j’ai personnellement rencontré dans mes développements : après des centaines de lignes dans un fichier souvent mal organisé, on est perdu et on perd le fil de notre suivi ; on perd des contacts.
C’est de là qu’est né le concept de my-personal-business.com, un outil super simple et ergonomique, qui permet de suivre l’intégralité de tous ses contacts sur une seule et même plateforme, sur tablette, ordinateur ou smartphone. On est loin du logiciel impossible à utiliser, bien au contraire !
my-personal-business.com, c’est aussi et surtout une start-up Française, labellisée French tech.
Les américains nous ont sélectionné comme innovation mondiale pour le particulier et nous ont invité à exposer au Salon Mondial de l’Innovation pour le Particulier, à Las Vegas, en Janvier. Ils nous ont qualifié de « salesforce pour ma grand –mère », c’est dire si la solution est intuitive !
Et c’est normal, il a été développé exprès pour les VDI car nous savons que tous ne sont pas à l’aise avec l’informatique. Cela étant, ça répond à un vrai besoin de professionnalisme. Outre un suivi qualifié, il permet également de mesurer soi-même combien de nouveaux contacts, de rendez-vous, de clients … on fait chaque jour et chaque semaine. C’est le miroir de notre action commerciale.
Étant en phase de lancement, le logiciel coûte 5€/mois, c’est donc accessible pour tous, même ceux qui démarrent. Je pense sincèrement que c’est un outil qui peut aider énormément. Il suffit de me contacter pour une avoir une présentation.
Vous souhaitez en savoir plus sur my-personal-business.com, vous pouvez contacter Carine Bonnisseau (carine.bonnisseau@dawaq.fr)
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